J* E C le bien dans an homme qui, ayant fept ou huit degrés J?i*ce 1 n e? a,9ue ^eui ou trois de concupiscence. Nécessite, (Mythol.) divinité allégorique qui te-flott tout 1 univers les dieux, & Jupiter même aflervis fous l'on empire. De-Ià vient qu’elle eft foovcnt prife Cflez les poètes pour le deftin à qui .tout obéit; c’eft en ce fens qu ils ont dit que les Parques étoient les filles j *a fatale Neceffité. Paufanias rapporte qu’il y avoit jr-9orinthe un Petit temple dédié à la Kéceffité & a la Violence, dans lequel il n’étoit permis a P^nne d entrer qu’aux prêtres de ces déelics\ On repréfentoit la Neccffité accompagnée de la fortune ayant des mains de bronze dans lesquelles elle tenoit des chevilles & des coins. (D 7 ) NECHIASEN, (Médecine.) C’eft un terme para- lefenimS i'gnificati0“ B’eft Pas bien déterminée: ”Tnt ]e ? U,S cft que Para«lfe donnoit ce aom a des particules ialmes, corrofives, & qui s’éten-doient en rongeant. Il paraît qu’il l’emploie dans ce lens : de nlccr apojlem. fironib. „od. lib. I. cap v On trouve aifez louvent dans cet auteur de ces termes ou nouveaux, ou étranger, dans fa langue, par le moyen defquels il fe rend inintelligible. C’eft un refte dÜ ff £age myfterieui familier aux Alchimiftes ■ les mm m-n »areu« font fort embarraflés à deviner le fe!is delaplû' part de ce, mots Karres, tels que nefder, nZro-Jral ptdeon, &c. &c. Dornaus, un des plus célébrés fvraiH mgénuement là-deflus ion infuffifance. C% Ze, fur le üiilionnairc Je Roland. Caftellus^croir que le 3J2LS” S '“/«"• 3f.faii“fToo7i;ab“de dci «**>• rSfMttsis NECKER oh NECKAR, (Géog.) 1« François di-/ieurs autres daïs fo^cours ^elllTEr«'danflS Fo- j nS&rSSunK G4Tp«iîvmend’ ïï p1t'in“dü *“■» w «us t%. *ne^ ’ fG/o?^ Petite ville d’Alleina- ^ofnf/rRH9n’e’ f!?r !e Nccker • entre Hailbron & toniouef / E C ?%partienî au grand-maître de l’ordre teu-tonique. L^, 2*5. 40* fat. 40 16 (D \ f^ECROLOGE, f. m. moi ) livre mortuaire fnrnJ^“6 °° CCnt 0Oms des morts • Ce mot eft formé du grec w.«, port, $ de *»>«», difeours Jet premiers chrétiens avoient dans chaque églife leur utero Î*K ' L“'S;ntUr'meM ,e K cote dans leur monaftere. Qn a donné au! le nom t TFï Cata,°gue? d« Maints, où le jour de^eur mort & de leur mémoire eft marqué; &, a parler exa-ôement, ce nom leur convient mieux que celui de mar Z°ir q-V°n dot?nc communément à ces fortes de recueils puifque tous ceux dont il v eft fait mm'™ re font pas morts martyrs. il fauf cependan cS"2- S tJcnommation de martyrologe a prévalu q f ICS ternie,, «ms te foi r* .“.“s1™ SSL»1 NEC f- ’ r*'9 J * ceux Q( laquelle oq prëieodoit évoquer 1« mo^rts 'unll7^'eP^ f»l.er fu, l’avenir, par le miuifle“ %%££ ftî pre.endo,,„t qu'enroite il leur <¡„„„„1, dtt répoS ’éeî tames fur l’avenir. Ceux qui les confnlrni,nr llf. • auparavant avoir fait le, expiations preferites par le^a' g.c,eu qui préfidoit à cette cérémonie,^ £ fur^ou^S; famccs lu,ei1 ''envoyant pour le refte 494. ¿Pt fi°trt C“ ' tUme ptm“r' **&' 49^, V»Dn?S 'cs inG>ennes cérémonies des funérailles, dit „ M. Pluche, on s aifembloit fur un lieu élevé & re-„ marquable, On y faifoit une petite foffe pour confu- ” tlri P1i c feUJes entrailles des viéiimes. On faifoit „ couler le fang dans la même folle. Une partie des „ mus étoit préfentée aux miniftres des facrifices On ” 011 mangeoit le des chairs immo- „ lees en s aiTeyant autour du foyer. Dans le paganif- ” CC cdr<5mi,nial ^augmenta, & fut furchargé „ d une infinité de cérémonies dans toutes les fêtes de „ religion ; mais pour les alfemblées mortuaires rien n’y „ enangea. Les familles,en enterrant leurs morts,étoient „ accoutumées a une rubrique commune qui fe perpé-„ tua. On continua dans le facrifice des funérailles à- ” mlvu “ne f°Jrel -à Y verfer du yin’ ’’huile, ou du „ miel, ou du lait, ou d’autres liqueurs d’ufage à v ” rlr%!“mrMenrU1ÜS.le/ang dcS viaimes> & à Icsmanl » ger eniemble en s affeyant autour de la foife & en „ s entretenant des vertus de celui qu’on regrettoit. ” Va facilité étrange avec laquelle on divinifoit les „ moindres parties de l’univers, donne lieu de conce-„ voir comment on prit l’habitude d’adreifer des prie- » „ res, des voeux, & un culte religieux i des morts qu’ „ 011^ avoir ainiés, dont on célébroit le» louanges & „ qu on croyoit jouir des lumières les plus pures après „ s être dépouillés avec le corps des foifaleiTes de l’hu-„ inanité. Lous les peuples, en facrifiant foît aux dieux „ quils s étoiept faits,foitaux morts dont la mémoire „ leur étoit chere, croyoient faire alliance avec eux ” M"-trctenira«,ec eux, manger avec eux familièrement! „ Mais cette familiarité les occupoit fur-tout dans les af-„ jemblc.es mortuaires, où ils étoient encore pleins du ,, iouvenir des perfonnes qu’ils avoient tendrement ai-” , 8U 1,s croyoient toûjours fenfibies aux inté- „ rêts de leur famille & de leur patrie. „ L» periuafion où l’on étoit que par les facrifices ,, on confultoit les dieux, on le, interrogeoit fur l’ave-„ fur, entraîna celle que dans les facrifices des funé-,, railles on confultoit aulfi les morts. Les cérémonies „ de ces facrifices mortuaires, quoiqu’elles ne fuifent que „ la fimple pratique des affemblées des premiers tem, „ le trouvant en tout point différentes de celles qu’on „ oblervoit dans les autres fêtes, parurent être autant ” a V,^?ns Particulières de converfer avec les morts ” î d obtenir d’eux les connoifïances qu’on defîroit’ „ L>u. pouvoir douter, par exemple, que ce ne fût pour converler familiaremenf avec fes anciens amis, qu’on s’af-