A V E R T IS S E M E Et T.
me, pour des fujets toutpareils; Scleurconduite n’a pas été moins pieine de foumiflion & de ferro ete toutenfemble, que celle decegrandArchevéque. Les Reglemens fur la Difcipline faits en ce tems-là, conviennent aulii fort au nò tre, & lesautresma-tieres Ecclefiaftiques qui y ont été traitées, appro-chent beaucoup de celles dont on traite le plus com-munément aujourd’hui. Toutes ces chofes feroient croire que l’Hiftoire du Neuviéme Siécle feroit aulii connué quelle eft importante. Cependant il n’yaprelquepointde partie de l’Hiftoire Eccleliaf* tique qui ait été plus negligée, & ce n’eft que de-puisquelques années que a habiles gens fe font applique?; à éclaircir ce qui la regarde. Mais il n’y a point d’Auteur qui aitrenfermé dans un lèul Ou-vrage l’Hiftoire de toutes lesMatieres traitées dans ce Siécle, & quil’aitfaitd’unemaniereintelligible à tout le monde. C’eft ce que j ’entreprens de faire dans celui-ci, en raportant fidelement ce que les Auteurs de ce tems-là en ont écrit, & ce que les Actes des Conciles, & les autres Monumens qui nous reftent, nous en apprennent.
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