ié7 téores qui, soit par l’attraction hydro-Èlectrique des sommets et des forêts du pourtours, soit par la répulsion mécanique qui imprime une déter-rnination contraire, se portent alternativement du centre , ou du cours des principaux fleuves, à la circonférence montueuse, et de tous les points de celle-ci vers les parties centrales, par autant de contre- courans. A cette fluctation perpétuelle, à cette condensation de vapeurs, en partie régulière, comme dépendante des marées atmosphériques, et en partie irrégulière, comme sub-ordonée à l’inconstance des vents originaires de plus loin, tiennent les qualités caractéristiques et variables de son climat; comme aussi de ces qualités dérivent les maladies fébriles, qui, sans changer de nature, changent de sites, se portant tantôt vers les régions montueuses, tantôt se Concentrant dans la plaine. Mais ces maladies étant toujours dépendantes de l’intempérie, et des vicissitudes de 1’atmosohère, il ne faut pas les confondre, malgré des traits de ressemblance, avec celles dont la cause principale existe dans l’influence des exhalaisons et des mofétes, ainsi qu’ on P a vû déjà tant de fois dans ce qui précède . Parmi ces exhalaisons méphitiques , nous avons distingué, non seulement celles dont l’origine est dans les régions souterraines et minérales , de celles qui se forment à la surface de la ter-