AVEC DES CHEVAUX.
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      nourriture, les harnois, les fers, etc., compris dans les articles 4 > 5 et 6, ne dépasseraient vraisemblablement pas de beaucoup 4° livres sterling par an, et ne s’élèveraient pas non plus beaucoup moins haut que cette somme; et en supposant qu’un homme fût chargé de deux chevaux, ce serait unedépensede i51iv.st.et 12 shel. déplus, en mettant ses gages à 2 shel. (2 fr. 5o c. ) par jour. A ce taux, Je travail d’un cheval de la valeur de 20 livres sterling coûterait 60 liv. sterl. 12 shellings (plus de i5oo francs) par an , ou , puisqu’il y a 312 jours de travail dans l’année, la dépense journalière d’un cheval serait de 3 shellings lofpences, ou de 186 farthings ; et en y comprenant le bénéfice de l’entrepreneur, elle irait à 216 farthings (5 fr. 62 c.) par jour.
         Mais la force d’un cheval allant avec une vitesse de 3 milles (4826 mètres) par heure, et marchant six heures par jour, est de 125 livres avoir du poids ( 57 kilogr. à peu près), Or 6 fois 3 milles font 18 milles, et
                 18 X 125 e= 22S0 livres,
      ce qui donne, en déduisant le poids du chariot, à peu près | de tonneau par mille ; et nous avons fait voir qu’il n’est pas probable que la force motrice puisse transporter plus de x 44 fois son équx-
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