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^AuProccs de Cofenze, tém. ioo. art. i.
a Au Processe Cofenze, tém. >7.64. & 71. An grand Pro-cés de Calabre, tém 18.19. z6. 30.96. 111. & 118.
2^.	Figures & Abregé de la Vie
dez j le Saint pour yremedier appella un de fes ouvriers, par lequel il fit faire une perite foflerte qui à peine pouvoit-e'treapperceuédetroispas; & depuis cetemps-là, toutes les eaux feperdoient dans cette foflette, fans qu’aucu-ne abondance d’eau la put remplir, ou faire regorger.
1 Le mefme Saint obtint par fes prieres quelade'cliarge de l’eau quii avoit fait miraculeufement conduire dans ce mefme Convent, fe perdit à la fortie d’iceluy, fans que fon put connoiftre ce quelle devenoit; & cela à caufe des diflentions quelle caufoit au voifinage, chacun voulant fe l’approprier pour l’utilité qu’ils en recevoient- le Saint Homme ayant fait auparavant tout cequ’il avoit pù pour les accorder, fans y avoir fceu
rien gai£ner.
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Ce fut au Convent de Paterne que Dieu (par une protection particu-liere, ) rendit S. Francois invifible aux foldatsque le Roy de Naples avoit envoyez pour le prendre quand il le perfecutoit. Ce fut en ce melme Convent, ou ce Seigneur qui avoit refufé de luy vendre une place pour quelque prix que ce fut, la luy donna depuis gratuitement, àcaufe quii l’avoitmi-raculeufement guery dune maladie mortelle. Ce fut là, qu’il fit paroiftre combien 1 eloquence qui provient d’une fcience infide, clt plus elegante que celle qui s acquiert par les lettres humaines, cornine nous dirons en on lieu. Ce fut encore là qu’il fit plufieurs merveilles en la prefence d’un anici iei du Pape Paule II. pour luy faire voir que l’aullerité de fon Inftitut ont il le vouloit de'tourner ) fe pouvoit oblerver. Ce fut là que ceux qui avoient calomnie fon Ordre, & prefiche contre fes miracles, voyant a patience & fon humilité, reconnurent leurfaute & luy en demanderent Pai 011. Ce fu t en ce mefme Convent de Paterne que noftre S. Patriarche encouiagea le pieuxJean de Cole, Comte d’Arena, d’aller retirer des mains u uic avi led Ottrantedont il s’étoitemparél’afleurant (avec des pa-cs P eines e confiance en Dieu ) que fans aucune perte de fes gens il en i> Ulnerj)lt vicloiieux, ce qui arriva felon la Prophetie du Saint. Enfin celu^ P lieHue f le Convent de Paule a été fonde & bally par miracles, Sainr L	aProPrement parler, aéte'IeTheatredelagloiredenòtre
nmlrir, a °j 1(\ua^r paroiftre le plus grand eclat de fes mentes, pour la nonifari C 1’^ ^°ns niiraculeufes qu ily fit. Audi dans lesaétes delaCa-
encaul-^’Suenaucun