dv R. P. Mersenne. 17
De plus voyant que l’impiété s’augmentoit en ce malheureux fiecle, S¿ que Dieu eftoit gran-dement des-honoré par quel-quesieunes libertins ; il luy vint vne forte inipiration de refuter en François leurs deteflables maximes, comme il l’auoit défia fait en Latin dans fon Commen-taire fur la Genefe. C’eft pour-quoy il mir en lumiere vn Liure diuifé en deux parties S¿ volumes fous ce titre:
L’impiété des Déifiés, des A-thées, & des plus fiubtils libertins de ce temps, combatue & rentier-fiée de poinél en poinéî parratjons tirées de la Philojophie & de la Theologie.
Il donna encore au public fon Liure, delà Tenté des Sciences,où
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